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Littérature échappée des genres « noir » et « blanc » aux fins de délier les langues pour relier les luttes, la collection des cahiers Marrons, ouverte aux autaires du Sud global, relie les imaginaires porteurs d’avenirs. Ces textes courts sont rassemblés dans des petits livres de belle facture qu’on peut emporter dans la poche, partout où d’aventure les pænsées et les corps s’interposent.
Livre broché 105×168 mm, 144 pages, 128 g.
Notre référence : lcm-002.
Parution: novembre 2024.
En deux mots
Depuis dix ans, le collectif Getting the Voice Out soutient les personnes incarcérées dans des « centres fermés » et dénonce l’enfermement et le traitement inhumain des personnes sans-papiers en Belgique. Ce recueil de témoignages raconte, par la voix des femmes et des hommes qui les subissent, la surprise et la détresse, la peur et la rage, le racisme et les sévices, la privation des droits, les conditions de vie et les procédures d’expulsion…
Où le trouver ?
Au prix public de 13.12 € dans toutes les bonnes librairies ou à prix libre dans les événements de soutien aux sans-papiers et aux luttes anti-carcérales et anti-racistes. Tous les bénéfices des ventes de ce livre sont reversés au collectif Getting the Voice Out pour soutenir les personnes sans-papiers enfermées dans les geôles du royaume.
Commander sur Librel (BE) ou sur la Place des Libraires (FR).
Code barre
Sources
| Version | ISBN | Fichier |
|---|---|---|
| Papier | 978-2-931254-06-6 | TBD |
| 978-2-931254-07-3 | TBD |
Couverture
Quatrième
Getting the Voice Out. Sortir la voix, les voix. Ces voix étouffées, réprimées, invisibilisées, instrumentalisées. Silenciées.
Depuis 2010, le collectif Getting the Voice Out récolte des témoignages de personnes détenues en centres fermés, ces prisons qui ne disent pas leur nom où l’État belge enferme celles et ceux qui n’ont pas les « bons papiers » en vue de les expulser.
Au fil des jours, des semaines, des mois de détention, les personnes détenues racontent : la violence de l’enfermement, le racisme du personnel et des institutions, l’absence totale d’accès aux droits les plus fondamentaux, les expulsions, la solidarité qui s’organise, les résistances…
Discussion
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