Les anglicismes font tiquer. Ils n’appportent rien au texte ni aux personnages. Le français utilisé par la personne qui parle au téléphone n’est absolument pas un français de débutant·e, et tous les anglicismes font plutôt « précieuse ». Quand je lis ça je n’ai pas du tout l’impression d’écouter quelqu’un·e qui a traversé les épreuves de l’exil et de la transmigration, mais plutôt un·e parisien·ne de Pigalle qui a grandi rue des Abbesses.
Le contraste entre la première partie (non-corrigée) et la seconde est énorme : après le point-virgule, on est dans une voix simple et directe, alors qu’avant on est dans la démo. En plus l’utilisation de « marché gris » au milieu de tous ces anglicismes semble très curieux…